L’œuvre est dominée par une figure humaine centrale, entourée de formes plus abstraites. Les couleurs sont principalement chaudes créant une atmosphère chaleureuse et intime. L’œuvre évoque une scène de vie, peut-être un moment de solitude ou de contemplation. La figure centrale est enveloppée dans une aura de mystère.
Irié Hermann Ange Fabrice nait à Dabou, au sud de la Côte d’Ivoire en 1974. D’un père enseignant, le petit garçon passe une enfance loin de sa mère. Il laisse très tôt entrevoir un penchant pour le dessin. Il commence les études primaires puis secondaires dans la région d’Agboville, en Côte d’Ivoire, où demeure en fonction son père. Il obtient son BEPC en 1990 et intègre le lycée d’enseignement artistique (LEA) à Cocody au sein de l’Institut National des Arts (INA). Après le bac, il entame les études supérieures à l’École Nationale des Beaux-Arts (ENBA) et obtient le Diplôme d’Études Supérieures Artistiques (DESA), option peinture. Il s’inscrit au Centre Formation Pédagogique pour les Arts et la Culture (CFPAC) et sort professeur certifié. Ce diplôme, l’année qui suit, lui ouvre les portes d’une carrière d’enseignant à N’Douci, petite localité à 100 km d’Abidjan. Parallèlement à sa fonction, il s’adonne à sa passion qu’est la peinture et participe à plusieurs expositions de groupe et individuelle.
Son thème de prédilection longtemps reste la femme. Le peintre Irié Hermann dit Salomon, un des plus doué des jeunes espoirs du paysage artistique ivoirien, lui dédie sa touche particulière. Un choix esthétique qui lui permet d’exalter à la fois sa foi religieuse et picturale.
Foi religieuse par son appropriation du pseudonyme Salomon, par allusion au roi, au juste, au sage, au combattant, au bâtisseur et surtout à l’homme aux mille femmes. Foi picturale ; car s’il peint la Femme, c’est pour l’abstraire des vicissitudes de la vie qui altèrent l’appréciation de sa nature vraie. Pour la faire poser dans un environnement sans nuage, sans soucis que celui de se montrer dans toute sa splendeur. Toute chose qui convient à son tempérament artistique puisque cela lui permet de multiplier les belles femmes ornées de leurs plus belles parures dans un cadre bien africain. Pas de leçon de vision donc chez Salomon, mais une touche colorée et lumineuse qui est une « invite au regardeur à s’abandonner à la beauté pure. » Et à sa vision personnelle du monde ; enchantée, optimiste et gaie. C’est ce qui explique que dans les tableaux de Salomon, on ne distingue qu’un seul plan, le premier où espace, matière et sujets se condensent pour donner la vie.
Après sa rencontre avec l’art africain à la faveur de la rédaction de sa thèse, le travail de l’artiste prend une autre dimension. Désormais enseignant-chercheur, Salomon oriente son travail dans des pratiques expérimentales visant à promouvoir le patrimoine artistique et culturel de Côte d’Ivoire, sa nouvelle source d’inspiration. L’artiste vit et travaille à Abidjan.
Enchère de départ : 1800 €
L’œuvre est dominée par une figure humaine centrale, entourée de formes plus abstraites. Les couleurs sont principalement chaudes créant une atmosphère chaleureuse et intime. L’œuvre évoque une scène de vie, peut-être un moment de solitude ou de contemplation. La figure centrale est enveloppée dans une aura de mystère.
Irié Hermann Ange Fabrice nait à Dabou, au sud de la Côte d’Ivoire en 1974. D’un père enseignant, le petit garçon passe une enfance loin de sa mère. Il laisse très tôt entrevoir un penchant pour le dessin. Il commence les études primaires puis secondaires dans la région d’Agboville, en Côte d’Ivoire, où demeure en fonction son père. Il obtient son BEPC en 1990 et intègre le lycée d’enseignement artistique (LEA) à Cocody au sein de l’Institut National des Arts (INA). Après le bac, il entame les études supérieures à l’École Nationale des Beaux-Arts (ENBA) et obtient le Diplôme d’Études Supérieures Artistiques (DESA), option peinture. Il s’inscrit au Centre Formation Pédagogique pour les Arts et la Culture (CFPAC) et sort professeur certifié. Ce diplôme, l’année qui suit, lui ouvre les portes d’une carrière d’enseignant à N’Douci, petite localité à 100 km d’Abidjan. Parallèlement à sa fonction, il s’adonne à sa passion qu’est la peinture et participe à plusieurs expositions de groupe et individuelle.
Son thème de prédilection longtemps reste la femme. Le peintre Irié Hermann dit Salomon, un des plus doué des jeunes espoirs du paysage artistique ivoirien, lui dédie sa touche particulière. Un choix esthétique qui lui permet d’exalter à la fois sa foi religieuse et picturale.
Foi religieuse par son appropriation du pseudonyme Salomon, par allusion au roi, au juste, au sage, au combattant, au bâtisseur et surtout à l’homme aux mille femmes. Foi picturale ; car s’il peint la Femme, c’est pour l’abstraire des vicissitudes de la vie qui altèrent l’appréciation de sa nature vraie. Pour la faire poser dans un environnement sans nuage, sans soucis que celui de se montrer dans toute sa splendeur. Toute chose qui convient à son tempérament artistique puisque cela lui permet de multiplier les belles femmes ornées de leurs plus belles parures dans un cadre bien africain. Pas de leçon de vision donc chez Salomon, mais une touche colorée et lumineuse qui est une « invite au regardeur à s’abandonner à la beauté pure. » Et à sa vision personnelle du monde ; enchantée, optimiste et gaie. C’est ce qui explique que dans les tableaux de Salomon, on ne distingue qu’un seul plan, le premier où espace, matière et sujets se condensent pour donner la vie.
Après sa rencontre avec l’art africain à la faveur de la rédaction de sa thèse, le travail de l’artiste prend une autre dimension. Désormais enseignant-chercheur, Salomon oriente son travail dans des pratiques expérimentales visant à promouvoir le patrimoine artistique et culturel de Côte d’Ivoire, sa nouvelle source d’inspiration. L’artiste vit et travaille à Abidjan.
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