« Mon inspiration vient d’un évènement, de quelque chose qui m’a marquée. »
La peinture de Bénédicte Boehi s’inspire de scènes de la vie quotidienne dont elle peut être témoin au détour des rues de la capitale ivoirienne. Faite de jets lumineux, sa technique picturale rappelle l’écriture de l’ivoirien Monné Bou ou évoque le trait de l’américain Jackson Pollock. L’artiste, pour sa part, dit appuyer sa méthode sur celle des gribouillages d’enfants.
Enfants qui font d’ailleurs partie des thèmes qu’elle aborde dans ses œuvres. Ici, Bénédicte Boehi met en scène une forme du travail imposé aux enfants dans les marchés : le portage de bagages.
Bien que lumineuses, les couleurs ne sont cependant pas gaies. Le décor est planté et c’est celui de la difficulté et de la confrontation à une réalité trop dure pour celui qui la vit. Au spectateur attentif, certains détails se révèlent. Une brouette pleine, des pieds qui semblent nus, la posture qui marque l’effort fourni, un ventre trop gros pour être signe de bonne santé et l’effervescence autour que laissent imaginer les jets, les lignes et l’opacité des tons sombres tout autour et en fond. Les touches de jaune et d’ocre recentrent l’attention sur le sujet : l’enfant qui charge.
On croit également percevoir une certaine urgence dans la manière de peindre. Comme si l’artiste avait voulu au plus vite coucher sur la toile cette image poignante et tout ce qu’elle pourrait évoquer et lui faire ressentir.
Très axée sur la religion, qui lui permet d’être en contact avec son support qu’est la toile, Bénédicte Boehi se laisse inspirer par la musique autant que par des scènes de vie quotidienne. Cette jeune artiste ivoirienne, issue de l’École Nationale des Beaux-Arts où elle a étudié la peinture de 2012 à 2016, est une travailleuse acharnée. A ses yeux, une œuvre n’est jamais vraiment achevée, car : « On arrête une œuvre, on ne la finit pas ! »
Née à Vavoua en Côte d’Ivoire en 1990, c’est à partir de 2014 que Bénédicte Boehi se laisse découvrir du grand public et des amateurs d’art à travers les expositions collectives organisées par son institution de formation. Les jets et les lignes continues par lesquels elle s’exprime et qui évoquent l’écriture picturale de l’américain Jackson Pollock et de l’Ivoirien Monné Bou est inspirée, selon elle, par des gribouillages d’enfants.
Inciter et encourager les – jeunes – femmes artistes à persévérer dans la voie de leur vocation fait partie des engagements de Bénédicte Boehi. En continuant à produire et à exposer, elle souhaite aussi montrer l’exemple et attester que le travail fini par payer.
« Mon inspiration vient d’un évènement, de quelque chose qui m’a marquée. »
La peinture de Bénédicte Boehi s’inspire de scènes de la vie quotidienne dont elle peut être témoin au détour des rues de la capitale ivoirienne. Faite de jets lumineux, sa technique picturale rappelle l’écriture de l’ivoirien Monné Bou ou évoque le trait de l’américain Jackson Pollock. L’artiste, pour sa part, dit appuyer sa méthode sur celle des gribouillages d’enfants.
Enfants qui font d’ailleurs partie des thèmes qu’elle aborde dans ses œuvres. Ici, Bénédicte Boehi met en scène une forme du travail imposé aux enfants dans les marchés : le portage de bagages.
Bien que lumineuses, les couleurs ne sont cependant pas gaies. Le décor est planté et c’est celui de la difficulté et de la confrontation à une réalité trop dure pour celui qui la vit. Au spectateur attentif, certains détails se révèlent. Une brouette pleine, des pieds qui semblent nus, la posture qui marque l’effort fourni, un ventre trop gros pour être signe de bonne santé et l’effervescence autour que laissent imaginer les jets, les lignes et l’opacité des tons sombres tout autour et en fond. Les touches de jaune et d’ocre recentrent l’attention sur le sujet : l’enfant qui charge.
On croit également percevoir une certaine urgence dans la manière de peindre. Comme si l’artiste avait voulu au plus vite coucher sur la toile cette image poignante et tout ce qu’elle pourrait évoquer et lui faire ressentir.
Très axée sur la religion, qui lui permet d’être en contact avec son support qu’est la toile, Bénédicte Boehi se laisse inspirer par la musique autant que par des scènes de vie quotidienne. Cette jeune artiste ivoirienne, issue de l’École Nationale des Beaux-Arts où elle a étudié la peinture de 2012 à 2016, est une travailleuse acharnée. A ses yeux, une œuvre n’est jamais vraiment achevée, car : « On arrête une œuvre, on ne la finit pas ! »
Née à Vavoua en Côte d’Ivoire en 1990, c’est à partir de 2014 que Bénédicte Boehi se laisse découvrir du grand public et des amateurs d’art à travers les expositions collectives organisées par son institution de formation. Les jets et les lignes continues par lesquels elle s’exprime et qui évoquent l’écriture picturale de l’américain Jackson Pollock et de l’Ivoirien Monné Bou est inspirée, selon elle, par des gribouillages d’enfants.
Inciter et encourager les – jeunes – femmes artistes à persévérer dans la voie de leur vocation fait partie des engagements de Bénédicte Boehi. En continuant à produire et à exposer, elle souhaite aussi montrer l’exemple et attester que le travail fini par payer.
La participation à cette vente privée est gratuite mais l’inscription est obligatoire. Le formulaire ci-dessous vous permet de faire une demande d’inscription. Les places étant limitées, une demande peut être impossible à satisfaire. Si celle-ci est validée, un carton d’invitation vous sera envoyé par mail et demandé à l’entrée de la salle. Si vous ne pouvez pas être présent le jour de la vente, mais que vous souhaitez déposer un ordre d’achat, merci de nous contacter par mail à contact@abac.art en précisant le(s) lot(s) concerné(s).