Artiste plasticien multidisciplinaire ivoirien, Georges-Arthur Kablan débute par des études d’architecture avant de se consacrer pleinement à la peinture. Marqué dès l’enfance par sa rencontre avec le maître James Houra, il développe un univers où philosophie, écriture et arts visuels se rejoignent.
Son travail explore la complexité des micro-moments de la vie et la tension entre plein et vide. Par des compositions fragmentées évoquant des puzzles, il reflète la nature morcelée de l’expérience humaine, tout en intégrant symboles contemporains et références médiatiques.
Utilisant le papier recyclé comme support, Kablan associe réflexion environnementale et questionnement sur la société de consommation. Ses œuvres ouvrent une méditation sur l’éphémère et le durable, entre saturation d’informations et espaces de contemplation.
Œuvre conceptuellement riche, La séductrice déconstruit le genre du portrait pour sonder les mystères de l’identité à l’ère de la surinformation. L’artiste ne peint pas un visage, mais orchestre une puissante métaphore visuelle de la personnalité comme construction délibérée.
Le regard est immédiatement captivé par le visage du sujet, composé d’une multitude de fragments photographiques. Chaque miniature est une vie potentielle, un souvenir capturé ou un rôle joué, suggérant que l’identité de cette figure énigmatique est une mosaïque d’expériences accumulées. Cette complexité narrative, qui invite à une lecture intime et prolongée, tranche radicalement avec la simplicité du vêtement. Traité en un aplat de jaune vif et énergique, il agit comme un signal, l’identité sociale et immédiate qui habille et, peut-être, dissimule la fragmentation intérieure.
Émergeant d’une matrice de coupures de presse, la figure est inextricablement liée à son contexte médiatique. L’arrière-plan n’est pas un simple décor mais la cacophonie ambiante, le bruit informationnel dont l’individu doit s’extraire pour exister. Le titre, La séductrice, prend alors tout son sens : la séduction n’est-elle pas l’art de maîtriser les fragments de son image pour projeter une identité désirable et cohérente ?
Cette œuvre est une réflexion percutante sur la fragmentation du soi. La séductrice est le portrait de chacun de nous, naviguant entre la richesse de notre monde intérieur et les images que nous projetons.
Artiste plasticien multidisciplinaire ivoirien, Georges-Arthur Kablan débute par des études d’architecture avant de se consacrer pleinement à la peinture. Marqué dès l’enfance par sa rencontre avec le maître James Houra, il développe un univers où philosophie, écriture et arts visuels se rejoignent.
Son travail explore la complexité des micro-moments de la vie et la tension entre plein et vide. Par des compositions fragmentées évoquant des puzzles, il reflète la nature morcelée de l’expérience humaine, tout en intégrant symboles contemporains et références médiatiques.
Utilisant le papier recyclé comme support, Kablan associe réflexion environnementale et questionnement sur la société de consommation. Ses œuvres ouvrent une méditation sur l’éphémère et le durable, entre saturation d’informations et espaces de contemplation.
Œuvre conceptuellement riche, La séductrice déconstruit le genre du portrait pour sonder les mystères de l’identité à l’ère de la surinformation. L’artiste ne peint pas un visage, mais orchestre une puissante métaphore visuelle de la personnalité comme construction délibérée.
Le regard est immédiatement captivé par le visage du sujet, composé d’une multitude de fragments photographiques. Chaque miniature est une vie potentielle, un souvenir capturé ou un rôle joué, suggérant que l’identité de cette figure énigmatique est une mosaïque d’expériences accumulées. Cette complexité narrative, qui invite à une lecture intime et prolongée, tranche radicalement avec la simplicité du vêtement. Traité en un aplat de jaune vif et énergique, il agit comme un signal, l’identité sociale et immédiate qui habille et, peut-être, dissimule la fragmentation intérieure.
Émergeant d’une matrice de coupures de presse, la figure est inextricablement liée à son contexte médiatique. L’arrière-plan n’est pas un simple décor mais la cacophonie ambiante, le bruit informationnel dont l’individu doit s’extraire pour exister. Le titre, La séductrice, prend alors tout son sens : la séduction n’est-elle pas l’art de maîtriser les fragments de son image pour projeter une identité désirable et cohérente ?
Cette œuvre est une réflexion percutante sur la fragmentation du soi. La séductrice est le portrait de chacun de nous, naviguant entre la richesse de notre monde intérieur et les images que nous projetons.

La participation à cette vente privée est gratuite mais l’inscription est obligatoire. Le formulaire ci-dessous vous permet de faire une demande d’inscription. Les places étant limitées, une demande peut être impossible à satisfaire. Si celle-ci est validée, un carton d’invitation vous sera envoyé par mail et demandé à l’entrée de la salle. Si vous ne pouvez pas être présent le jour de la vente, mais que vous souhaitez déposer un ordre d’achat, merci de nous contacter par mail à contact@abac.art en précisant le(s) lot(s) concerné(s).