Le doigt accusateur aborde des thèmes puissants et contemporains liés à la responsabilité sociale et à la solidarité. Les deux figures humaines, aux traits stylisés et expressifs, interagissent de manière dynamique, suggérant un dialogue ou un conflit.
L’utilisation de couleurs contrastées attire l’œil, avec des nuances vives qui soulignent l’émotion de la scène. Le personnage pointant du doigt évoque une critique sociale, tandis que le message écrit en arrière-plan renforce l’idée d’aspirer à un monde meilleur. Cela soulève des questions sur la responsabilité individuelle et collective face aux défis sociétaux.
Les formes simples et les lignes épurées contribuent à une lisibilité immédiate du message, tout en permettant une interprétation personnelle. L’œuvre invite le spectateur à réfléchir sur le rôle de chacun dans la construction d’une société plus solidaire et inclusive.
Le doigt accusateur est une pièce engagée qui captive par sa simplicité et sa profondeur, encourageant une réflexion sur la conscience sociale et l’action collective. C’est un appel à l’éveil et à la responsabilité, illustré avec une touche artistique forte et mémorable.
Peintre Quyphaud, de son vrai nom Kouakou Koffi Constant, est un artiste plasticien dont l’écriture picturale s’inscrit dans une démarche proche du Néo-expressionnisme. C’est de l’art burlesque, d’un comique extravagant, saugrenu, grotesque. Il n’a que des idées basées sur l’humour et la joie de vivre, qui déteignent les réalités de vie de monsieur et madame tout le monde. Pour Quyphaud, la femme est une source d’inspiration inépuisable, et ses créations rendent hommage à cette figure essentielle de l’humanité. L’art de Quyphaud se distingue par une approche sans complexe, éloignée des canons gréco-romains ou des académies traditionnelles. Ses personnages, souvent caractérisés par de grands yeux, rappellent l’influence des masques africains et de leur signification oculaire. Le noir, symbole d’élégance, constitue la base même de son travail. Il confère à ses œuvres une profondeur unique, servant de contre poids à ses personnages qui, sans cette couleur fondamentale, risqueraient de se fondre dans le décor. Le jaune, quant à lui, revient de manière récurrente dans sa palette, exprimant une attitude positive, une ouverture vers le changement, et évoquant la lumière et la chaleur du soleil, source de vie et d’énergie.
Depuis 2015, il participe à diverses expositions nationales et internationales, partageant ainsi son art à travers le monde. Son œuvre est un dialogue entre tradition et modernité, une fusion d’influences anciennes et contemporaines, tout en restant profondément enracinée dans son histoire personnelle. Quyphaud est également un artiste voyageur, puisant son inspiration dans la peinture rupestre, tout en y intégrant des éléments de son propre vécu, sa force intérieure et sa résilience face aux épreuves de la vie. On peut rapprocher Quyphaud du peintre européen Jean-Michel Basquiat, bien que d’origine haïtienne et porto-ricaine, pour son style brut et son rejet des conventions classiques. Comme Quyphaud, Basquiat s’inspirait des traditions ancestrales et des symboles pour créer un art profondément personnel, marqué par un expressionnisme intense et une énergie brute. Tous deux utilisent leur art pour exprimer leur identité, leur culture et leur vision du monde, défiant les attentes académiques et embrassant une liberté d’expression sans contraintes.
Enchère de départ : 1380 €
Le doigt accusateur aborde des thèmes puissants et contemporains liés à la responsabilité sociale et à la solidarité. Les deux figures humaines, aux traits stylisés et expressifs, interagissent de manière dynamique, suggérant un dialogue ou un conflit.
L’utilisation de couleurs contrastées attire l’œil, avec des nuances vives qui soulignent l’émotion de la scène. Le personnage pointant du doigt évoque une critique sociale, tandis que le message écrit en arrière-plan renforce l’idée d’aspirer à un monde meilleur. Cela soulève des questions sur la responsabilité individuelle et collective face aux défis sociétaux.
Les formes simples et les lignes épurées contribuent à une lisibilité immédiate du message, tout en permettant une interprétation personnelle. L’œuvre invite le spectateur à réfléchir sur le rôle de chacun dans la construction d’une société plus solidaire et inclusive.
Le doigt accusateur est une pièce engagée qui captive par sa simplicité et sa profondeur, encourageant une réflexion sur la conscience sociale et l’action collective. C’est un appel à l’éveil et à la responsabilité, illustré avec une touche artistique forte et mémorable.
Peintre Quyphaud, de son vrai nom Kouakou Koffi Constant, est un artiste plasticien dont l’écriture picturale s’inscrit dans une démarche proche du Néo-expressionnisme. C’est de l’art burlesque, d’un comique extravagant, saugrenu, grotesque. Il n’a que des idées basées sur l’humour et la joie de vivre, qui déteignent les réalités de vie de monsieur et madame tout le monde. Pour Quyphaud, la femme est une source d’inspiration inépuisable, et ses créations rendent hommage à cette figure essentielle de l’humanité. L’art de Quyphaud se distingue par une approche sans complexe, éloignée des canons gréco-romains ou des académies traditionnelles. Ses personnages, souvent caractérisés par de grands yeux, rappellent l’influence des masques africains et de leur signification oculaire. Le noir, symbole d’élégance, constitue la base même de son travail. Il confère à ses œuvres une profondeur unique, servant de contre poids à ses personnages qui, sans cette couleur fondamentale, risqueraient de se fondre dans le décor. Le jaune, quant à lui, revient de manière récurrente dans sa palette, exprimant une attitude positive, une ouverture vers le changement, et évoquant la lumière et la chaleur du soleil, source de vie et d’énergie.
Depuis 2015, il participe à diverses expositions nationales et internationales, partageant ainsi son art à travers le monde. Son œuvre est un dialogue entre tradition et modernité, une fusion d’influences anciennes et contemporaines, tout en restant profondément enracinée dans son histoire personnelle. Quyphaud est également un artiste voyageur, puisant son inspiration dans la peinture rupestre, tout en y intégrant des éléments de son propre vécu, sa force intérieure et sa résilience face aux épreuves de la vie. On peut rapprocher Quyphaud du peintre européen Jean-Michel Basquiat, bien que d’origine haïtienne et porto-ricaine, pour son style brut et son rejet des conventions classiques. Comme Quyphaud, Basquiat s’inspirait des traditions ancestrales et des symboles pour créer un art profondément personnel, marqué par un expressionnisme intense et une énergie brute. Tous deux utilisent leur art pour exprimer leur identité, leur culture et leur vision du monde, défiant les attentes académiques et embrassant une liberté d’expression sans contraintes.
La participation à cette vente privée est gratuite mais l’inscription est obligatoire. Le formulaire ci-dessous vous permet de faire une demande d’inscription. Les places étant limitées, une demande peut être impossible à satisfaire. Si celle-ci est validée, un carton d’invitation vous sera envoyé par mail et demandé à l’entrée de la salle. Si vous ne pouvez pas être présent le jour de la vente, mais que vous souhaitez déposer un ordre d’achat, merci de nous contacter par mail à contact@abac.art en précisant le(s) lot(s) concerné(s).