Bénédicte Boehi nous présente un trio de personnages énigmatiques, capturés dans un tourbillon de couleurs et de textures. Les visages, fragmentés et reconstruits à travers un collage audacieux, se détachent sur un fond rouge intense, créant un contraste saisissant.
La technique de l’artiste, mêlant peinture et collage, donne à l’œuvre une dimension dynamique et expressive. Les fragments de journaux, de magazines et d’autres matériaux imprimés s’entrelacent, formant des visages à la fois familiers et étranges. Les couleurs vives et contrastées, ainsi que les lignes blanches qui semblent jaillir de la toile, ajoutent une énergie palpable à l’ensemble.
Le Trio est une exploration de l’identité et de la communauté. Les trois personnages, côte à côte, semblent partager un lien mystérieux. Leurs regards, parfois interrogateurs, parfois distants, nous invitent à nous interroger sur leur relation et sur le message que l’artiste souhaite transmettre.
Bénédicte Boehi se laisse inspirer par la musique autant que par des scènes de vie quotidienne. Cette jeune artiste ivoirienne, issue de l’École Nationale des Beaux-Arts où elle a étudié la peinture de 2012 à 2016, est une travailleuse acharnée. À ses yeux, une œuvre n’est jamais vraiment achevée, car : « On arrête une œuvre, on ne la finit pas ! »
Née à Vavoua en Côte d’Ivoire en 1990, c’est à partir de 2014 que Bénédicte Boehi se laisse découvrir du grand public et des amateurs d’art à travers les expositions collectives organisées par son institution de formation. Les jets et les lignes continues par lesquels elle s’exprime et qui évoquent l’écriture picturale de l’américain Jackson Pollock et de l’Ivoirien Monné Bou est inspirée, selon elle, par des gribouillages d’enfants.
Inciter et encourager les – jeunes – femmes artistes à persévérer dans la voie de leur vocation fait partie des engagements de Bénédicte Boehi. En continuant à produire et à exposer, elle souhaite aussi montrer l’exemple et attester que le travail fini par payer.
Bénédicte Boehi nous présente un trio de personnages énigmatiques, capturés dans un tourbillon de couleurs et de textures. Les visages, fragmentés et reconstruits à travers un collage audacieux, se détachent sur un fond rouge intense, créant un contraste saisissant.
La technique de l’artiste, mêlant peinture et collage, donne à l’œuvre une dimension dynamique et expressive. Les fragments de journaux, de magazines et d’autres matériaux imprimés s’entrelacent, formant des visages à la fois familiers et étranges. Les couleurs vives et contrastées, ainsi que les lignes blanches qui semblent jaillir de la toile, ajoutent une énergie palpable à l’ensemble.
Le Trio est une exploration de l’identité et de la communauté. Les trois personnages, côte à côte, semblent partager un lien mystérieux. Leurs regards, parfois interrogateurs, parfois distants, nous invitent à nous interroger sur leur relation et sur le message que l’artiste souhaite transmettre.
Bénédicte Boehi se laisse inspirer par la musique autant que par des scènes de vie quotidienne. Cette jeune artiste ivoirienne, issue de l’École Nationale des Beaux-Arts où elle a étudié la peinture de 2012 à 2016, est une travailleuse acharnée. À ses yeux, une œuvre n’est jamais vraiment achevée, car : « On arrête une œuvre, on ne la finit pas ! »
Née à Vavoua en Côte d’Ivoire en 1990, c’est à partir de 2014 que Bénédicte Boehi se laisse découvrir du grand public et des amateurs d’art à travers les expositions collectives organisées par son institution de formation. Les jets et les lignes continues par lesquels elle s’exprime et qui évoquent l’écriture picturale de l’américain Jackson Pollock et de l’Ivoirien Monné Bou est inspirée, selon elle, par des gribouillages d’enfants.
Inciter et encourager les – jeunes – femmes artistes à persévérer dans la voie de leur vocation fait partie des engagements de Bénédicte Boehi. En continuant à produire et à exposer, elle souhaite aussi montrer l’exemple et attester que le travail fini par payer.
La participation à cette vente privée est gratuite mais l’inscription est obligatoire. Le formulaire ci-dessous vous permet de faire une demande d’inscription. Les places étant limitées, une demande peut être impossible à satisfaire. Si celle-ci est validée, un carton d’invitation vous sera envoyé par mail et demandé à l’entrée de la salle. Si vous ne pouvez pas être présent le jour de la vente, mais que vous souhaitez déposer un ordre d’achat, merci de nous contacter par mail à contact@abac.art en précisant le(s) lot(s) concerné(s).