Luc-Henri Nanglé est un artiste diplômé du centre technique des arts appliqués (CTAA) de Bingerville. Depuis 2016, ce jeune diplômé d’architecture perfectionne sa formation et sa pratique artistique dans les ateliers d’artistes, notamment des plasticiens de son pays, Yeanzi et Aboudia.
Nanglé explore et étudie la peinture, la photographie, le design et développe une sensibilité particulière pour « la figuration narrative ». Avec ses multiples influences et son désir de synthèse de tous ces univers, il produit depuis trois ans, un travail artistique alliant peinture, architecture, photographie et symbolique traditionnelle Akan (son groupe ethnique), à laquelle il est très attaché.
Son sujet a pour point de départ son expérience personnelle, toutes les difficultés du jeune homme qu’il était à intégrer le monde intraitable du travail. Cet univers complexe, dynamique et imposant, contrastant avec la fébrilité d’une jeunesse mal outillée, luttant pour s’y faire une place. Dans une approche esthétique et figurative qui lui est propre, il propose un contraste qui interroge l’état de la jeunesse vulnérable face aux prouesses architecturales et bâtiments majestueux qui représentent la forme de progrès et d’évolution la plus visible. Ce contraste est pour lui une opportunité de faire dialoguer harmonieusement l’humain et son architecture. Mais aussi de mettre en lumière la jeunesse oubliée et le pouvoir.
Dans une ballade de silhouette, d’expressions corporelles, faciales, de couleurs et de compositions, Nanglé raconte dans un langage universel, les singuliers, les problématiques de sa cité. Sa constance et sa régularité lui ont valu d’être invité en 2022 à assister les artistes dans l’organisation du pavillon de la Côte d’Ivoire à la 59eme biennale internationale de Venise.
Sous les néons des nouveaux gratte-ciel, un groupe d’adolescents curieux déambule parmi les ruines des anciens entrepôts. Là où les bulldozers ont laissé des traces de poussière, eux dessinent des fresques éphémères sur les murs en briques, capturant les ombres des bâtiments effondrés. Chaque nuit, ils ajoutent un peu de leur âme à la ville, dessinant des paysages où la nature reprend ses droits, des oiseaux s’envolant entre les gratte-ciel de béton. Face à l’urbanisation galopante, leur art devient une résistance silencieuse, un poème visuel écrit dans la lumière des réverbères.
Luc-Henri Nanglé est un artiste diplômé du centre technique des arts appliqués (CTAA) de Bingerville. Depuis 2016, ce jeune diplômé d’architecture perfectionne sa formation et sa pratique artistique dans les ateliers d’artistes, notamment des plasticiens de son pays, Yeanzi et Aboudia.
Nanglé explore et étudie la peinture, la photographie, le design et développe une sensibilité particulière pour « la figuration narrative ». Avec ses multiples influences et son désir de synthèse de tous ces univers, il produit depuis trois ans, un travail artistique alliant peinture, architecture, photographie et symbolique traditionnelle Akan (son groupe ethnique), à laquelle il est très attaché.
Son sujet a pour point de départ son expérience personnelle, toutes les difficultés du jeune homme qu’il était à intégrer le monde intraitable du travail. Cet univers complexe, dynamique et imposant, contrastant avec la fébrilité d’une jeunesse mal outillée, luttant pour s’y faire une place. Dans une approche esthétique et figurative qui lui est propre, il propose un contraste qui interroge l’état de la jeunesse vulnérable face aux prouesses architecturales et bâtiments majestueux qui représentent la forme de progrès et d’évolution la plus visible. Ce contraste est pour lui une opportunité de faire dialoguer harmonieusement l’humain et son architecture. Mais aussi de mettre en lumière la jeunesse oubliée et le pouvoir.
Dans une ballade de silhouette, d’expressions corporelles, faciales, de couleurs et de compositions, Nanglé raconte dans un langage universel, les singuliers, les problématiques de sa cité. Sa constance et sa régularité lui ont valu d’être invité en 2022 à assister les artistes dans l’organisation du pavillon de la Côte d’Ivoire à la 59eme biennale internationale de Venise.
Sous les néons des nouveaux gratte-ciel, un groupe d’adolescents curieux déambule parmi les ruines des anciens entrepôts. Là où les bulldozers ont laissé des traces de poussière, eux dessinent des fresques éphémères sur les murs en briques, capturant les ombres des bâtiments effondrés. Chaque nuit, ils ajoutent un peu de leur âme à la ville, dessinant des paysages où la nature reprend ses droits, des oiseaux s’envolant entre les gratte-ciel de béton. Face à l’urbanisation galopante, leur art devient une résistance silencieuse, un poème visuel écrit dans la lumière des réverbères.
La participation à cette vente privée est gratuite mais l’inscription est obligatoire. Le formulaire ci-dessous vous permet de faire une demande d’inscription. Les places étant limitées, une demande peut être impossible à satisfaire. Si celle-ci est validée, un carton d’invitation vous sera envoyé par mail et demandé à l’entrée de la salle. Si vous ne pouvez pas être présent le jour de la vente, mais que vous souhaitez déposer un ordre d’achat, merci de nous contacter par mail à contact@abac.art en précisant le(s) lot(s) concerné(s).